La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) a rencontré Nicolas Hulot au siège de sa fondation et dans le cadre de la campagne d’influence que les chasseurs conduisent auprès des candidats à l’élection présidentielle et des leaders d’opinion.
Une rencontre où Nicolas Hulot et le Président de la F.N.C, Charles Henri de Ponchalon, ont pu exprimer franchement leurs perceptions respectives du monde de la chasse et de la protection de la nature.
Nicolas Hulot a reconnu qu’il n’aimait pas la chasse comme d’autres n’aiment pas le football ou le tennis, mais qu’il n’avait rien contre cette activité dès lors qu’elle était pratiquée dans le respect des règles. Toutefois, il a précisé que l’initiative des chasseurs de vouloir le rencontrer lui inspirait un vif intérêt.
Le Président des chasseurs, tout en regrettant l’impossible dialogue avec les protecteurs intégristes, s’est félicité de l’initiative et du pragmatisme de Nicolas Hulot dans sa campagne d’influence auprès des leaders politiques de tous bords. Nicolas Hulot a insisté sur le fait qu’il était là « pour jeter des passerelles, plutôt que pour creuser des fossés » et favorable au dépassement de « la relation de défiance » entre chasseurs et protecteurs.
Charles-Henri de Ponchalon a commenté les propositions du Pacte écologique de Nicolas Hulot en soulignant que bien souvent les chasseurs pouvaient converger, voire même avoir une analyse plus « décapante » que celle du Comité de veille écologique en matière, notamment, de défense de la nature ordinaire et de la biodiversité.
Après un long échange sur la réforme de l’État, la tutelle et la police de l’environnement, la politique agricole, l’éducation à l’environnement et la démocratie participative, Nicolas Hulot et Charles Henri de Ponchalon ont confirmé qu’une collaboration était souhaitable, le pacte ayant une vocation évolutive. Un groupe de travail sera mis en place avec la Fondation Nicolas Hulot dès que la FNC aura formulé ses propositions.
Les deux présidents ont conclu cette rencontre avec humour, en espérant qu’un jour l’alliance des deux « lobbies » qu’ils représentent puisse faire progresser la cause de la nature et y impliquer encore davantage la classe politique dans son ensemble.
Une rencontre où Nicolas Hulot et le Président de la F.N.C, Charles Henri de Ponchalon, ont pu exprimer franchement leurs perceptions respectives du monde de la chasse et de la protection de la nature.
Nicolas Hulot a reconnu qu’il n’aimait pas la chasse comme d’autres n’aiment pas le football ou le tennis, mais qu’il n’avait rien contre cette activité dès lors qu’elle était pratiquée dans le respect des règles. Toutefois, il a précisé que l’initiative des chasseurs de vouloir le rencontrer lui inspirait un vif intérêt.
Le Président des chasseurs, tout en regrettant l’impossible dialogue avec les protecteurs intégristes, s’est félicité de l’initiative et du pragmatisme de Nicolas Hulot dans sa campagne d’influence auprès des leaders politiques de tous bords. Nicolas Hulot a insisté sur le fait qu’il était là « pour jeter des passerelles, plutôt que pour creuser des fossés » et favorable au dépassement de « la relation de défiance » entre chasseurs et protecteurs.
Charles-Henri de Ponchalon a commenté les propositions du Pacte écologique de Nicolas Hulot en soulignant que bien souvent les chasseurs pouvaient converger, voire même avoir une analyse plus « décapante » que celle du Comité de veille écologique en matière, notamment, de défense de la nature ordinaire et de la biodiversité.
Après un long échange sur la réforme de l’État, la tutelle et la police de l’environnement, la politique agricole, l’éducation à l’environnement et la démocratie participative, Nicolas Hulot et Charles Henri de Ponchalon ont confirmé qu’une collaboration était souhaitable, le pacte ayant une vocation évolutive. Un groupe de travail sera mis en place avec la Fondation Nicolas Hulot dès que la FNC aura formulé ses propositions.
Les deux présidents ont conclu cette rencontre avec humour, en espérant qu’un jour l’alliance des deux « lobbies » qu’ils représentent puisse faire progresser la cause de la nature et y impliquer encore davantage la classe politique dans son ensemble.
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